« Le problème synoptique est l'ensemble des relations ambivalentes qu'entretiennent les trois Évangiles synoptiques. L'exégèse a franchi une étape décisive avec la théorie des deux sources et qui a pour corollaire l'hypothèse de la Source Q. » wikipédia
« Le Vengeur du sang est une parabole de l'Ancien Testament. Elle est tirée du deuxième livre de Samuel. Elle parle de la compassion qui doit régner sur terre plutôt que de la vengeance. » wikipédia
« It was the best of times, it was the worst of times, it was the age of wisdom, it was the age of foolishness, it was the epoch of belief, it was the epoch of incredulity, it was the season of Light, it was the season of Darkness, it was the spring of hope, it was the winter of despair, we had everything before us, we had nothing before us, we were all going direct to Heaven, we were all going direct the other way--in short, the period was so far like the present period, that some of its noisiest authorities insisted on its being received, for good or for evil, in the superlative degree of comparison only. » A Tale of two cities by Charles Dickens
« Les paraboles rendent possible, davantage que l’énoncé discursif, la projection en faisant jouer l’imagination et la capacité de représentation et éveillent les émotions et les sentiments. Dans le même sens, elles favorisent l’identification possible avec les personnages et les situations, augmentant la capacité des auditeurs (lecteurs) de s’impliquer personnellement dans la parabole et donc de prendre pour eux-mêmes avec force la leçon de l’histoire racontée, voire d’être atteint et interpellé si la parabole appelle une décision et invite à un changement de vie. Car bien plutôt que d’informer, ou de vouloir convaincre d’un contenu ou d’une idée, la parabole à une visée pratique et invite à l’action. L’efficacité « pédagogique » de la parabole vient donc du fait qu’elle indique une marche à suivre par mode de recommandation et demande à celui qui l’entend (ou la lit) un travail d’interprétation dans lequel il est acteur dans la recherche du sens. La parabole n’impose pas d’idée ou d’argument, elle suggère et suscite plutôt ; laissant à chacun la liberté de se positionner au sein du monde imaginaire qu’elle construit. » extrait de La pédagogie de Jésus : les miracles et les paraboles