1.3.1.3.- La captureOn est alors prêt pour la "capture" qui se fait très simplement par le moyen des zones de localisation. On saura, à coup sûr, dans quelle bibliothèque se rendre et on disposera même de listes informatiques des documents à demander dans chaque lieu, ce qui permet d'être accueilli à bras ouverts par les documentalistes, qui n'ont plus aucun problème de décryptage de "grigris", puisque la demande est formulée dans leur langue: des fiches bibliographiques qu'elles ont souvent rédigées elles-mêmes.
Le travail en bibliothèque est donc ramené aux étapes suivantes :
- fournir au service de reprographie la liste des documents dont on souhaite la photocopie (le coût d'une page reproduite ainsi est d'environ 1,20 FF, ce qui fait 0.20 FF de plus qu'une photocopie que l'on aurait fait soi-même, si ce n'est que l'on ne le fait pas, non plus que l'agrafage, non plus que le temps de recherche des documents, non plus que l'attente à la photocopieuse occupée ou en panne, etc.) et revenir deux jours après les chercher.
- consulter sur place les ouvrages qui ne peuvent faire l'objet de photocopie par l'étape précédente (pour des raisons de copyright, de dimensions, etc).
Ce processus est, bien entendu, réentrant, puisque, de même que dans une chasse "à pied", on peut exploiter les références de fin d'article, les co-citations, etc.