2.2 Cognition

_____________ L'information, comme nous la rencontrons couramment, n'est pas sans rappeler un puits sans fond, pouvant de même être sujette à un approfondissement infinis. Pour emprunter un terme branché relativement jeune (elle aussi) des mathématiques, on pourrait dire que l'information semble avoir une nature fractale. De l'autre coté, les agents cognitifs se contentent d'un relativement petit nombre d'éléments extraits de cet environnement fractale.
               L'acquisition de l'information de l'environnement par l'agent cognitif est un procéssus analogue, mais pas forcément identique, à passer de l'infini continu au fini discret. Dretsk[8p135-141] utilise le terme de codage analogue et discret, pour faciliter l'explication de ce phénomène.
Considérons le cas le plus basique d'éléments d'information: La posséssion, ou autrement dit par un objet S d'une propriétét P. Un tel élément d'information sera recu par un agent par l'intermediair d'un signal. Ce signal est délivré pour donner l'info que l'objet S a la propriété P en forme digitale, si ce signal ne donne pas plus d'information sur l'obget S autres que celles incluses ou induites dans S étant P.
Autrement le signale est dit donner l'information en forme analogue. Par exemple si je vous dis que Jon est plus grand que Fred, ce morceau d'information vous est transmi de façon digitale. Vous n'apprendrez rien de plus à leurs propos. Vous ne pourrez pas par exemple savoir que Jon est barbu et pas Fred. Si par contre je vous montre une photo de Jon et Fred côte à côte, cette photo vous apprendra aussi que Jon est plus grand que Fed, mais de façon analogue. En regardant la photo vous pouvez remarquer une foule de petits détails les concernant, informations plus particulière que le simple fait de qui est le plus grand. Ainsi vous verrez de combien Jon est plus grand, ce que ma simple phrase ne vous dit pas.
L'information reçue en forme analogue est toujours capable de mener à des détailles plus spécifiques. L'info reçue en forme digitale n'est pas capable de tels raffinements (il faut noter que tout ceci est relatif à l'élément d'information concerné.
Les termes analogue et digitale ne sont pas "absolus" comme décrits dans cet exemple. Le photographe donne en forme analogue l'info selon laquelle Jon est plus grand que Fred, mais il enregistre en forme digitale l'information que le photograph lui a pue voir à travers les lentilles de son appareil photo quand il a prit cette photo).
             Maintenant, ce qui intérressait Dretske dans la distinction digitale analogue, c'est la représentation de l'information, alors que dans cet exposé je prends l'information elle même, comme objet de base de mes allégations. Plus précisément, j'essais d'optenir une concéptualisation spécifique à l'information comme comodité théorique, avec laquelle nous pourrions travailler, de manière analogue aux nombres des théoriciens des nombres, ou les points, lignes et figures des géomètres.
Pour l'instant, tout ce que nous possédons est un nom : "information". Ce nom peut vouloir dire quelque chose pour nous, mais il n'est pas un concepte mathématique définit de facon formel qui puisse former la base d'une étude scientifique. J'utiliserais l'idée de Dretske dans le but d'obtenir la sorte de conceptualisation définit précisément de l'information dont j'ai besoins.
Nous devrions regarder l'extraction des informations de l'environnement par un agent, comme se déroulant dans deux plans séparés, correspondant à la distinction analogue digitale. La première étape est la perception, où l'information dans l'environnement devient accessible directement par l'agent par l' intermediaire de sorte de senseurs(seeing, feeling). A cette étape le flux d'info est analogue, relatif à quelques informations avec lesquels il est concerné. La seconde étape, si elle existe, implique l'extraction d'éléments spécifiques d'information à partir du "continu"; ce qui implique la conversion de l'analogue au digitale.
Ce stade EST la COGNITION. Dans le cas d'une personne, ceci peut être pour le photographe le fait d'admètre que Jon est plus grand que Fred, pour le thermostat c'est l'acte discret entre ouvert et fermé.
           Un agent cognitif est un agent qui a la capacité de cognition dans ce sens; i.E. la compétence pour convertir l'analogue en digitale. Il faurt souligner que la phrase cidessus ne saurait être une définition de l'agent cognitif. Mais quelle énonce plutôt les attributs nécéssaires pour qu'un agent doit posséder pour prétendre à être cognitif.
Mon seul but ici, dans cette description est d'introduir de facon intuitive le modèle du monde avec lequel je me propose de travailler (une investigation plus détaillé de la notion de Cognition se trouve au chapitre 6).
L'agent cognitif qui me trote derrière la tête est l'homme, en dépit du fait que cela semble tellement clair, sinon totalment clair, que ce que je dis aura des applications beaucoup plus larges.
Pour l'indécidable, Dretske avait quelque chose à dire pour chacune des deux partie du sujet. Page 142[8] il dit à propos de la cognition: C'est la conversion réussit de l'information en forme digitale qui constitue l'essence de l'activité cognitive... L'activité cognitive est la mobilisation conceptuel de l'information entrente, et ce traitement conceptuel est fondamentalement un problème d'ignorer les différences mineures pour souligner les similitudes ... C'est en bref, un problème de faire la conversion analogue digitale.
Ceci pourrait apparaitre comme une confirmation de l'usage de la conversion analogue digitale comme définition effective de la Cognition. Mais dans une note de bas de page de ce passage Dretske ajoute: Ce n'est pas simplement la conversion de l'information de la forme analogue à la forme digitale qui définit un sysème comme étant un système cognitif perceptuel...
Pour qualifier de facon authentique un système perceptuel, il est nécéssaire qu'il y ait une unité de convertion digitale dans laquelle l'information peut recevoir une forme cognitive concrète, mais une forme cognitive concrète ne se résume pas seulement à un problème de digitalisation.
En fait ce que souligne Dretske est que, si l'agent à la capacité, le moyen de manipuler et d'utiliser l'information qu'il obtient, alors la digitalisation des informations perçue est l'essence de l'activité cognitive. Notez que le processus de cognition (i.e. vraiment de façon carricaturale une conversion digitale) implique une perte (toujours importante) d'information.
Mais cela est compensé par un gain certain, c'est ainsi que se fait une classification de l'information percue. Un thermostat enregistre seulement la température (analogue coding information) et donc il est un agent perceptif mais pas un agent cognitif (même dans le sens minimaliste suggéré ci-dessus), le termostat classifit la température en deux classes ( chaud et froid) et ceci exclus une forme de cognition.
Un terme explicite à utiliser dans cet exemple serait "concepte". Le termostat n'a pas de concepte de chaud et de froid, le thermostat agit. C'est par l'usage de conceptes pour classifier les informations perçues que de telles informations deviènnent disponibles pour un travail sémantique.
Et c'est avec de telles informations concetuelles en forme digitale que je serais concerné en premier lieu dans cet article.