_____________ L'information, comme nous la rencontrons couramment, n'est
pas sans rappeler un puits sans fond, pouvant de même être
sujette à un approfondissement infinis. Pour emprunter un terme
branché relativement jeune (elle aussi) des mathématiques,
on pourrait dire que l'information semble avoir une nature fractale. De
l'autre coté, les agents cognitifs se contentent d'un relativement
petit nombre d'éléments extraits de cet environnement fractale.
L'acquisition de l'information de l'environnement par l'agent cognitif
est un procéssus analogue, mais pas forcément identique,
à passer de l'infini continu au fini discret. Dretsk[8p135-141]
utilise le terme de codage analogue et discret, pour faciliter l'explication
de ce phénomène.
Considérons le cas le plus basique d'éléments
d'information: La posséssion, ou autrement dit par un objet S d'une
propriétét P. Un tel élément d'information
sera recu par un agent par l'intermediair d'un signal. Ce signal est délivré
pour donner l'info que l'objet S a la propriété P en forme
digitale, si ce signal ne donne pas plus d'information sur l'obget S autres
que celles incluses ou induites dans S étant P.
Autrement le signale est dit donner l'information en forme analogue.
Par exemple si je vous dis que Jon est plus grand que Fred, ce morceau
d'information vous est transmi de façon digitale. Vous n'apprendrez
rien de plus à leurs propos. Vous ne pourrez pas par exemple savoir
que Jon est barbu et pas Fred. Si par contre je vous montre une photo de
Jon et Fred côte à côte, cette photo vous apprendra
aussi que Jon est plus grand que Fed, mais de façon analogue. En
regardant la photo vous pouvez remarquer une foule de petits détails
les concernant, informations plus particulière que le simple fait
de qui est le plus grand. Ainsi vous verrez de combien Jon est plus grand,
ce que ma simple phrase ne vous dit pas.
L'information reçue en forme analogue est toujours capable de
mener à des détailles plus spécifiques. L'info reçue
en forme digitale n'est pas capable de tels raffinements (il faut noter
que tout ceci est relatif à l'élément d'information
concerné.
Les termes analogue et digitale ne sont pas "absolus" comme décrits
dans cet exemple. Le photographe donne en forme analogue l'info selon laquelle
Jon est plus grand que Fred, mais il enregistre en forme digitale l'information
que le photograph lui a pue voir à travers les lentilles de son
appareil photo quand il a prit cette photo).
Maintenant, ce qui intérressait Dretske dans la distinction digitale
analogue, c'est la représentation de l'information, alors que dans
cet exposé je prends l'information elle même, comme objet
de base de mes allégations. Plus précisément, j'essais
d'optenir une concéptualisation spécifique à l'information
comme comodité théorique, avec laquelle nous pourrions travailler,
de manière analogue aux nombres des théoriciens des nombres,
ou les points, lignes et figures des géomètres.
Pour l'instant, tout ce que nous possédons est un nom : "information".
Ce nom peut vouloir dire quelque chose pour nous, mais il n'est pas un
concepte mathématique définit de facon formel qui puisse
former la base d'une étude scientifique. J'utiliserais l'idée
de Dretske dans le but d'obtenir la sorte de conceptualisation définit
précisément de l'information dont j'ai besoins.
Nous devrions regarder l'extraction des informations de l'environnement
par un agent, comme se déroulant dans deux plans séparés,
correspondant à la distinction analogue digitale. La première
étape est la perception, où l'information dans l'environnement
devient accessible directement par l'agent par l' intermediaire de sorte
de senseurs(seeing, feeling). A cette étape le flux d'info est analogue,
relatif à quelques informations avec lesquels il est concerné.
La seconde étape, si elle existe, implique l'extraction d'éléments
spécifiques d'information à partir du "continu"; ce qui implique
la conversion de l'analogue au digitale.
Ce stade EST la COGNITION. Dans le cas d'une personne, ceci peut être
pour le photographe le fait d'admètre que Jon est plus grand que
Fred, pour le thermostat c'est l'acte discret entre ouvert et fermé.
Un agent
cognitif est un agent qui a la capacité de cognition dans ce sens;
i.E. la compétence pour convertir l'analogue en digitale. Il faurt
souligner que la phrase cidessus ne saurait être une définition
de l'agent cognitif. Mais quelle énonce plutôt les attributs
nécéssaires pour qu'un agent doit posséder pour prétendre
à être cognitif.
Mon seul but ici, dans cette description est d'introduir de facon intuitive
le modèle du monde avec lequel je me propose de travailler (une
investigation plus détaillé de la notion de Cognition se
trouve au chapitre 6).
L'agent cognitif qui me trote derrière la tête est l'homme,
en dépit du fait que cela semble tellement clair, sinon totalment
clair, que ce que je dis aura des applications beaucoup plus larges.
Pour l'indécidable, Dretske avait quelque chose à dire
pour chacune des deux partie du sujet. Page 142[8] il dit à propos
de la cognition: C'est la conversion réussit de l'information en
forme digitale qui constitue l'essence de l'activité cognitive...
L'activité cognitive est la mobilisation conceptuel de l'information
entrente, et ce traitement conceptuel est fondamentalement un problème
d'ignorer les différences mineures pour souligner les similitudes
... C'est en bref, un problème de faire la conversion analogue digitale.
Ceci pourrait apparaitre comme une confirmation de l'usage de la conversion
analogue digitale comme définition effective de la Cognition. Mais
dans une note de bas de page de ce passage Dretske ajoute: Ce n'est pas
simplement la conversion de l'information de la forme analogue à
la forme digitale qui définit un sysème comme étant
un système cognitif perceptuel...
Pour qualifier de facon authentique un système perceptuel, il
est nécéssaire qu'il y ait une unité de convertion
digitale dans laquelle l'information peut recevoir une forme cognitive
concrète, mais une forme cognitive concrète ne se résume
pas seulement à un problème de digitalisation.
En fait ce que souligne Dretske est que, si l'agent à la capacité,
le moyen de manipuler et d'utiliser l'information qu'il obtient, alors
la digitalisation des informations perçue est l'essence de l'activité
cognitive. Notez que le processus de cognition (i.e. vraiment de façon
carricaturale une conversion digitale) implique une perte (toujours importante)
d'information.
Mais cela est compensé par un gain certain, c'est ainsi que
se fait une classification de l'information percue. Un thermostat enregistre
seulement la température (analogue coding information) et donc il
est un agent perceptif mais pas un agent cognitif (même dans le sens
minimaliste suggéré ci-dessus), le termostat classifit la
température en deux classes ( chaud et froid) et ceci exclus une
forme de cognition.
Un terme explicite à utiliser dans cet exemple serait "concepte".
Le termostat n'a pas de concepte de chaud et de froid, le thermostat agit.
C'est par l'usage de conceptes pour classifier les informations perçues
que de telles informations deviènnent disponibles pour un travail
sémantique.
Et c'est avec de telles informations concetuelles en forme digitale
que je serais concerné en premier lieu dans cet article.