2.8 Alors, que sont exactement ces infons?

_____________________ J'ai commencé dès le début par affirmer que les agents découpent le monde d'une certaine façon en individualisant cognitivement des uniformités variées et en agissant de façon discriminative face aux uniformités. Ces uniformités sont composées en particulier par les individus, les relations, et les places spaciales et temporelles. Le flux d'information est rendu possible par un raiseau de liens abstraits entre des uniformitées d'ordre supérieure connuent en tant que "type".
             Ainsi par exemple, si vous voyez de la fumée vous pouvez conclure que il y a une sorte de feu, étant donné qu'il y a une contrainte qui implique un lien systématique entre la situation où il y a de la fumée et la situation où il y a du feu. Cette contrainte n'est pas particulière à un cas particulier où il y a de la fumée et du feu, mais s'obtiens de façon générale: si jamais il y a de la fumée il y a du feu. La contrainte ne reli pas la situation présente mais des types de situations, une situation à fumée à une situation à feu. Puisque j'ai passé du temps à parler du système numérique, il est peut être instructif de mentionner a ce point, les similitudes entre les types et les nombres naturels. 'Avoir trois éléments'est une uniformité que les hommes ont appris à individualiser à un age assez reculé.
                Les ensembles peuvent être "typés" ou classifiés selon qu'ils ont ou non trois éléments. Tout les ensembles à trois éléments ont quelque chose en commun, l'uniformité de la "troisièmetée". Une fois que cette uniformité a été reconnue, le pas suivant est de formuler le concepte concepte abstrait du 'nombre trois'. Un objet abstrait est "crée" de manière à ce que il soit la chose que tout les ensembles à trois élément aient en commun. Les types sont pratiquement de même nature, seulement ils sont plus générales, sur une échelle plus large. Et pour cause, avoir trois éléments est seulement un cas particulier de type d'ensemble. Regarder un type comme un objet est analogue à regarder un nombre comme un objet.
               Les contraintes qui lient les types sont elles même des uniformités, des régularités dans le monde, qu'un agent peut soit individualiser cognitivement ou alors discriminer par son attitude. Elles sont clairement du niveau d'abstraction juste supérieur à celui des types qu'elles relient. Tandis que les types ont généralement accéptés comme de simples objets pour les gens qui se pose le problème, la contrainte elle semble n'être un objet vraiment définit qu'à l'intérieur du domaine des scientifiques du cognitif. C'est une situation analogue qu'avec celle de la différence entre les réels et les complexes, les quels sont tout les deux mis sur le même plan par les mathématiciens mais dont seul les premiers sont considérés comme de simples nombres par le commun des mortels.

                 Les infons viennent dans le tableau, pas parceque les agents les individualisent forcéments, mais plutôt comme les outils tirés de notre théorie, une situation ayant quelques parallèles avec l'introduction des particules élémentaires en physique. Les types et les contraintes qui les relient semblent êtres une partie et une parcelle de la vie de tous les jours des agents cognitifs, qui font leur chemin dans le monde en ramassant et en agissant en fonction d'informations variées. Le monde n'opère pas de façon cyclique d'un moment à l'autre (en tous cas pas à notre échelle), mais montre pltôt pas mal de régularités, une régularité à la quelle l'agent devient habitué et même peut être conscient. Au dessus du niveau d'abstraction des objets individuels, des place, et des relations, il y a les types et les raiseaux de contraintes qui les relient. Tout ceci est sûrement 'là'. En tant que théoriciens nous n'"inventons" pas ces entités. Plutôt le seul geste que faisons est de leur accorder un statut objectif.

                  Mais les infons sont purement des outils de notre théorie. Une théorie mathématique de l'information demande quelques notions spécifiques d'un 'objet informel'ou un 'elements d'information'pour travailler avec. Il se peut ou non que l'agent cognitif fonctionne réellement en prenant l'"information" dans une forme "infonique", sacchant que c'est une thèse importante de ce travail que de dire que le concepte d'"élément d'information" ne semble pas être intuitif. L'information émerge par le biais d'une représentation et d'une contrainte. Une observation simple indique que des contraintes différentes permètent la même configuration du monde pour représenter des morceaux d'information différents, et que ces configurations différentes peuvent à travers des contraintes différentes, représenter le même morceau d'information. Pour manier une telle diversité, on introduit une notion théorique absolue d' "élément d'information",allias les infons. On fait cela de la ême manière que l'on a introduit les divers systèmes numériques en mathématique classique.

                     Ceci étant, un infon est définit comme une classe d'équivalence d'un couple d'une configuration, R, et d'une contrainte, C. Ceci suppose la notion d'equivalence discriminé par un agent qui dit que deux couples et, édébouche sur le même morceau d'information. On ne tente pas ici de réduir cette relation d'équivalence à quelque chose de plus 'basique', pas plus que nous essayons de définir les autres uniformités de notre théorie. Nous prenons simplement comme le point de départ de toute théorie d'information, le fait qu'il puisse émerger quelque chose de la combinaison d'une configuration et d'une contrainte, et qui ne soit pas nécéssairement particulier à ce couple là. On rend ce 'quelque chose'en un objet infon.

                  Ce pocessus n'est pas plus circulaire que n'importe laquelle des constructions des systèmes numériques décrient plutôt, et pour cause les analogies sont bonnes. Exactement comme les nombres irrationnels remplissent les 'trous infinitésimales'dans le système des nombres rationnels que nous pouvons observer, et comme l'introduction des nombres imaginaires aV-1, nous fournissent un système numérique ayant plus de puissance d'expréssion que les réels, de la même manière les infons fournissent l'objet qui résulte de l'éffet combiné de la représentation et de la contrainte.

                    Et de la même manière que le mathématicien ayant finit la construction sophistiqué, disons des réels, va vite s'attacher à regarder les réels comme 'un objet atomique du style point', au lieu de la structure mathématique complèxe qu'elle vient juste de définir, de même notre théorie prend les infons comme des objets complétement basiques--bien sûre comme un des points de départ de notre théorie de l'information. Ainsi par exemple, dans le développement des chapitres suivants, les divers types et contraintes sont définis en utilisant des infons, exactement l'opposé du procédé de dérivation précèdant. Etant donné que l'on se bat pour que notre théorie est un développement mathématique, et plus particulièrement comme la théorie d'ensemble cette approche n'est pas abandonable. Dans la théorie d'ensemble, une relation est une entité extensive qui doit avoir un domaine de d'objets sur lesquels opérer: c'est une relation entre objets, forcément il est prit souvant comme un ensemble d'objets n-tuple ordonnés. Ainsi les objets précèdent ontologiquement la relation.

                   Mais les relations que les agents individualisent et discriminent sont essentielement intensionnels, et peuvent être regard\351s comme conduisant eux-mêmes aux "objets"qu'ils représentes. Ainsi les types et les contraintes émergent par les vertues des attitudes cognitives des agents , comme le font certaine relation d'équivalences que nous avons trouvé pratiques pour decrire comme donnant le même 'élément d'information', et cela conduisant à traiter comme objet un nouvelle réalité des objets abstraits du théoricien que nous appelons 'infon'.

                   C'est le sens dans le quel je vois l'infons comme "existant". Ainsi les infons sont des objets sémantiques à l'intérieur du canevas de notre théorie. Ceci étant, leurs statuts est le même que, disons les réels dans les maths. Cela leur donne une nature absolue, indépendante de la représentation. Leurs statuts en tant qu'objets abstraits à l'intérieur de notre théorie n'excluent pas leurs correspondaces aux abstarctions reconnuent par les agents dans le monde. Forcément, je sens qu'il y a une forte intuition d'un "élément" d'information" qui correspond de près à la notion d'un infon. Mais l'actuelle théorie n'a pas besoins de se rapprocher d'une telle vue. Et pour cause, étant donné le floue inhérent à notre usage courant du mot 'information', il semble peu probable qu'aucune définition formelle puisse remplir tout le monde.

                   Notez que leurs statuts "d'objets abstraits"ne signifient pas que les infons aient une sorte d'existance physique. être un objet intentionnel abstrait n'est pas la même chose que de faire partie du monde physique. Les nombres sont des objets abstraits dans le monde, qu'ils soient positifs, négatifs ou complèxes. Le nombre trois est un objet abstrait particulier dans le monde. Il ne dépend pas de sa représentation. Les infons, je le maintient,sont dans ce sens entièrement similaires. Comme objets abstraits, les infons peuvent être considérés autant comme faisant partie du monde que les nombres. Assez réels ils sont une haute partie abstraite de notre monde. Mais alors de même est la notion d'information elle-même, et dans la première place.