_____________ Jusque là, mon ontologie basique pour l'étude
de l'information et de la cognition a un regard pltôt classique dessus:
individus, relation, positions spaciales et temporelles.
Une chose nouvelle à propos de cette approche particulière,
et ce qui est caractéristique de 'la théorie de situation',
est l'introduction dans l'ontologie de ce qu'on appèle SITUATION.
Dans la théorie de SITUATION, on prends note du fait que le
monde d'agent est divisé en collection, ou succéssion, de
situations: situation rencontré, situation se référent
à, situation à propos de laquelle l'information est recue,
et ainsi de suite. Ceci pour dir que notre théorie reflète
le fait que les agents discriminent les situations(par leure attitude).
De plus, l'attitude des personnes varie systématiquement en
fonction de la sorte de situation qu'ils affrontent: situations menacantes,
situations désagréables, situations plaisantes, situation
de compétition, conversation, et qu'avez-vous, toutes évoquent
des réponses plutôt différentes. Et de la même
façon, de l'autre coté du spèctre cognitif, l'attitude
d'outils mécaniques peuvent dépendrent de façons dramatiques
de la situation dans la quelle l'outil est: un micro va moins bien fonctionner
dans un bureau que dans un tube d'eau, et une voiturette de lune qui se
déplace doucement sur la surface de la lune ne bougera peut être
pas sur terre.
De façons à prendre en compte cette 'dépendance à
la situation'de divers agents, le shéma d'indiv. d'agent est pris
pour nous fournir une collection de situations, parties du monde hautement
structurées que l'agent discrimines.
Savoir exactement ce qui constitu et ce qui ne constitu pas une situation
est largement une question de quel agent on parle -- comme le reste de
notre ontologie j'usqu'ici, comme résultat du shéma d'individuation
du théoricien, les situation son relativent à l'agent. Il
est possible ou non que l'agent puisse individualiser les situations lui-même.
Les agents simples n'indivisualisent probablement aucunes situations,
bien que si ce sont les agents qui nous intérèssent, leures
attutudes soit discriminatoire de ces situations. Dans le cas d'agents
sophistiqués tel que l'homme, il semble que nous indiv. toujours
les situations.
Par exemple quand on parle de foot, ou quand on se réfère
à, on dit "la situation dans le middle est". Mais dans beaucoup
de cas notre attitude discrimine simplements les cas, sans que pour autant
il y'est une indiv. se fasse. Par exemple, on pense rarement aux régions
climatiques dans les quelles nous sommes en tant qu'unités individuelles,
cet une situation, mais notre attitude change quand nous allons de la floride
à l'alaska en janvier. Sans s'occuper de leurs statuts, en s'occupant
de l'individualis. par l'agent, à l'intérieur de notre théorie
les situations sont comme des passagés de première classe
de l'ontologie comparées au individus, au relations, et au reste
de l'ontologie que nous aborderons ensuite.
Et ce changement est vraiment ce qui distingue la théorie de
situation des autres théories qui prènnet en compte le contexte
ou d'autres éffets de l'envirronement. En particulié, les
situations peuvent remplirent des rôles d'arguments de relation,
et ceci pour apparaitre comme constituant d'infon (ce rajout est le premier
fait à la notion d'infon).
Remarquez que de toute façon, même dans le cas de situations
indiv. par l'agent, leur statut vis à vis des individus ne veut
pas dir que les situations sont toutes identiques à des individus.
Une importante particularité de la situation que notre théorie
reflète, est que la structure d'une situation a un sens pour l'agent,
d'une façon que la structure interne d'un individus n'a pas.
D'un autre coté, il est possible que l'agent individualise la
même entié à la fois comme individus et comme situation.
Par exemple une balle de fusil examinée au microscope est individualisé
comme une situation. Et encore une fois, je regarde généralement
mon ordinateur comme un individus, mais un agent qui le réparerait
pourrait le regarder à la fois comme un individu et une situation.
Le statut des situations dans notre théorie est maintenant clairement
dessiné. Elles sont des citoyennes de première classe comparées
au reste de l'ontologie du théoricien. Mais dans quel sens un agent
individualise t'il une situation(quand)? Pas en générale
comme un individus. Se serait plutôt comme une situation, c'est à
dire, comme une partie structuré de la réalité qu'il
arrive d'une manière ou l'autre à discerner.
Il y a beaucoup de possibilités pour un agent de discerner une
situation.
Deux exemple évidents sont une percéption directe d'une
situation, peut être l'environnement immédiat, ou pensant
à une situation particulière, la soirée d'hier par
exemple. Pour chacun des évènements, on doit préciser
que l'individualisation d'une situation par un agent ne veut pas forcément
dir que cet agents peut fournir une description exacte de tout ce qui c'est
passés ou pas dans cette situation. Par exemple, supposons que Jonh
et David ont une conversation à propos d'un match de foot précis,
qu'ils ont tout les deux vu. Alors ils se réfèrent tout les
deux à une une situation réelement définie-- nomément
ce jeu particulié.
C'est une situation qu'ils individualisent tous les deux (comme situation).
Une longue discussion sans confusion et riche en information peut prendre
place. et déjà ni David, ni John ne seraient capables de
lister chacuns des évènements isolés qui ont formé
une partie du jeu, ou tout morceau d'information qui y'est relié
d'une façon essentielle. Et pour cause, il y a de grande chance
que justement ce qui fasse que la discussion sur la partie est quelque
chose d'intérèssant pour les deux partis, est le fait que
chacun acquière de l'autre de nouveaux éléments d'information
à propos du jeu, ces infos que l'un a remarqué et pas l'autre.
Le fait que chacun quite le jeu avec des infos différentes de celles
du voisin, ne veut pas dire que leur discussion traite de deux jeux différents.
La situation est identique pour deux individus, une partie du monde hautement
structuré ayant une durée fixée dans le temps. Ce
qui diffère c'est ce que chacun connait à propos de cette
situation.
les gens qui on rencontré la notion de situation pour la première
fois sont toujours rebuté d'accepter une situation comme un simple
obget, une chose à étudier en paralèlle avec les individus,
les relations, et ce qui suit.
Je cois que une partie de ce malaise vient de la nouvautée de
la notion, mais de façon plus large cela à avoir avec notre
incapacité à réduire des situations à un composite
d'autre objets plus familié.
Mais il me semble que si on veut faire une étude sérieuse
du flux d'info, et dans les communications particulière, alors la
situation ne peut être évité. Après tout si
intérupiez John et David en plein milieu de leurs discutions et
que vous leur demandiez de quoi ils parleraient, ils répondraient
"du jeu d'hier soir".Allons nous conclure alors que en fait il ne parlaient
à propos de rien; ou que aucun ne savait vraiment de quoi il parlait?
Evidement non. Mais cet exemple n'est pas isolé; c'est plutôt
typique de beaucoup d'exemple de communication liguistic humain-humain.
La capacité à individualiser une situation en est une
fondamentale que l'humain, et peut-être seulement l'humain, possède
dès le départ, comme une partie de l'appareil de guidage
d'attitude qui leur permet de fonctionner dans une société
grande et complexe.
Ce qui est nouveaux et distinct dans la théorie de situation c'est
que elle prend le taureau par les cornes et qu'elle s'ataque à ces
débouchés tête baissée, en incluant la situation
dans l'ontologie dès le tout début, au même titre qu
les autres plus classiques entités telles que les individus, relation,
place, et ce qui s'y apparente. Pour John et David, il se pourrait bien
que l'unique moyen de qualifié la situation en question à
savoir"le match d'hier soir". Le développement d'une théorie
de situation devait se construire avec les techniques qui sont utiles pour
fonctionner avec les idividus, les relations et ainsi de suite, mais qui
ne sont peut être pas vraiment approprié pour les situations.
Les situations sont, pour le théoricien, une nouvelles sorte d'entité,
qui demandera probablement de maitriser de nouvelles techniques. Comme
mentionné plus tôt, comme les situations font partie de l'ontologie
comme le reste, les situations seront peut êtres constituantes des
infons.
Comme exemple d'infon qui implique une situation comme un argument d'une
relation, je suggère <> où s est le match de foot dont
on parlait, l est la place de david et du match, et t est l'intervale de
temps pendant lequel David a vue s.
Métons que s soit une situation. Soit @ un infon, nous pourrions
avoir besoins de considérer le fait que @ soit rendu vrai par s,
ce que j'ecrirais s |= @ Une autre manière de l'exprimer est de
dir que @ est un élément d'information qui est vrai de s.
La terminologie officielle est que S SUPPORTE @.
notez que cette notion est fondamentale dans le sens que, étant
donné un infon @, cést un fait du monde que la relation s
|= @ soit tient ou ne tient pas.
Si I est un ensemble d'infons et s une situation, j'écrit s |= I
si s |= @ pour chaque infon @ de I. Je suppose que parmis les situations
possibles pour notre étude il y a une situation maximale et unique,
le 'monde', du quel chacune des autres situations est une partie.
Il se peut ou non que les espèces d'agents que l'on étudie
puissent individualiser une telle notion. Dans le cas de l'homme, il me
semble que nous sommes capables d'individualiser une telle totalité.
Mais dans chaque exemple étudié du point de vue du théoricien
il est vraiment très pratique d'avoir cette situation dans notre
ontologie. En générale, je note ce monde par 'w'.
Notre définition précédante d'un fait peut être
maintenant reformulée comme un infon @, tel que w |= @