2.4 Situations

_____________ Jusque là, mon ontologie basique pour l'étude de l'information et de la cognition a un regard pltôt classique dessus: individus, relation, positions spaciales et temporelles.
             Une chose nouvelle à propos de cette approche particulière, et ce qui est caractéristique de 'la théorie de situation', est l'introduction dans l'ontologie de ce qu'on appèle SITUATION.
Dans la théorie de SITUATION, on prends note du fait que le monde d'agent est divisé en collection, ou succéssion, de situations: situation rencontré, situation se référent à, situation à propos de laquelle l'information est recue, et ainsi de suite. Ceci pour dir que notre théorie reflète le fait que les agents discriminent les situations(par leure attitude).
De plus, l'attitude des personnes varie systématiquement en fonction de la sorte de situation qu'ils affrontent: situations menacantes, situations désagréables, situations plaisantes, situation de compétition, conversation, et qu'avez-vous, toutes évoquent des réponses plutôt différentes. Et de la même façon, de l'autre coté du spèctre cognitif, l'attitude d'outils mécaniques peuvent dépendrent de façons dramatiques de la situation dans la quelle l'outil est: un micro va moins bien fonctionner dans un bureau que dans un tube d'eau, et une voiturette de lune qui se déplace doucement sur la surface de la lune ne bougera peut être pas sur terre.
             De façons à prendre en compte cette 'dépendance à la situation'de divers agents, le shéma d'indiv. d'agent est pris pour nous fournir une collection de situations, parties du monde hautement structurées que l'agent discrimines.
Savoir exactement ce qui constitu et ce qui ne constitu pas une situation est largement une question de quel agent on parle -- comme le reste de notre ontologie j'usqu'ici, comme résultat du shéma d'individuation du théoricien, les situation son relativent à l'agent. Il est possible ou non que l'agent puisse individualiser les situations lui-même.
Les agents simples n'indivisualisent probablement aucunes situations, bien que si ce sont les agents qui nous intérèssent, leures attutudes soit discriminatoire de ces situations. Dans le cas d'agents sophistiqués tel que l'homme, il semble que nous indiv. toujours les situations.
Par exemple quand on parle de foot, ou quand on se réfère à, on dit "la situation dans le middle est". Mais dans beaucoup de cas notre attitude discrimine simplements les cas, sans que pour autant il y'est une indiv. se fasse. Par exemple, on pense rarement aux régions climatiques dans les quelles nous sommes en tant qu'unités individuelles, cet une situation, mais notre attitude change quand nous allons de la floride à l'alaska en janvier. Sans s'occuper de leurs statuts, en s'occupant de l'individualis. par l'agent, à l'intérieur de notre théorie les situations sont comme des passagés de première classe de l'ontologie comparées au individus, au relations, et au reste de l'ontologie que nous aborderons ensuite.
Et ce changement est vraiment ce qui distingue la théorie de situation des autres théories qui prènnet en compte le contexte ou d'autres éffets de l'envirronement. En particulié, les situations peuvent remplirent des rôles d'arguments de relation, et ceci pour apparaitre comme constituant d'infon (ce rajout est le premier fait à la notion d'infon).
Remarquez que de toute façon, même dans le cas de situations indiv. par l'agent, leur statut vis à vis des individus ne veut pas dir que les situations sont toutes identiques à des individus. Une importante particularité de la situation que notre théorie reflète, est que la structure d'une situation a un sens pour l'agent, d'une façon que la structure interne d'un individus n'a pas.
D'un autre coté, il est possible que l'agent individualise la même entié à la fois comme individus et comme situation. Par exemple une balle de fusil examinée au microscope est individualisé comme une situation. Et encore une fois, je regarde généralement mon ordinateur comme un individus, mais un agent qui le réparerait pourrait le regarder à la fois comme un individu et une situation. Le statut des situations dans notre théorie est maintenant clairement dessiné. Elles sont des citoyennes de première classe comparées au reste de l'ontologie du théoricien. Mais dans quel sens un agent individualise t'il une situation(quand)? Pas en générale comme un individus. Se serait plutôt comme une situation, c'est à dire, comme une partie structuré de la réalité qu'il arrive d'une manière ou l'autre à discerner.
Il y a beaucoup de possibilités pour un agent de discerner une situation.
Deux exemple évidents sont une percéption directe d'une situation, peut être l'environnement immédiat, ou pensant à une situation particulière, la soirée d'hier par exemple. Pour chacun des évènements, on doit préciser que l'individualisation d'une situation par un agent ne veut pas forcément dir que cet agents peut fournir une description exacte de tout ce qui c'est passés ou pas dans cette situation. Par exemple, supposons que Jonh et David ont une conversation à propos d'un match de foot précis, qu'ils ont tout les deux vu. Alors ils se réfèrent tout les deux à une une situation réelement définie-- nomément ce jeu particulié.
C'est une situation qu'ils individualisent tous les deux (comme situation). Une longue discussion sans confusion et riche en information peut prendre place. et déjà ni David, ni John ne seraient capables de lister chacuns des évènements isolés qui ont formé une partie du jeu, ou tout morceau d'information qui y'est relié d'une façon essentielle. Et pour cause, il y a de grande chance que justement ce qui fasse que la discussion sur la partie est quelque chose d'intérèssant pour les deux partis, est le fait que chacun acquière de l'autre de nouveaux éléments d'information à propos du jeu, ces infos que l'un a remarqué et pas l'autre. Le fait que chacun quite le jeu avec des infos différentes de celles du voisin, ne veut pas dire que leur discussion traite de deux jeux différents.
              La situation est identique pour deux individus, une partie du monde hautement structuré ayant une durée fixée dans le temps. Ce qui diffère c'est ce que chacun connait à propos de cette situation.

             les gens qui on rencontré la notion de situation pour la première fois sont toujours rebuté d'accepter une situation comme un simple obget, une chose à étudier en paralèlle avec les individus, les relations, et ce qui suit.
Je cois que une partie de ce malaise vient de la nouvautée de la notion, mais de façon plus large cela à avoir avec notre incapacité à réduire des situations à un composite d'autre objets plus familié.
Mais il me semble que si on veut faire une étude sérieuse du flux d'info, et dans les communications particulière, alors la situation ne peut être évité. Après tout si intérupiez John et David en plein milieu de leurs discutions et que vous leur demandiez de quoi ils parleraient, ils répondraient "du jeu d'hier soir".Allons nous conclure alors que en fait il ne parlaient à propos de rien; ou que aucun ne savait vraiment de quoi il parlait? Evidement non. Mais cet exemple n'est pas isolé; c'est plutôt typique de beaucoup d'exemple de communication liguistic humain-humain.
La capacité à individualiser une situation en est une fondamentale que l'humain, et peut-être seulement l'humain, possède dès le départ, comme une partie de l'appareil de guidage d'attitude qui leur permet de fonctionner dans une société grande et complexe.
               Ce qui est nouveaux et distinct dans la théorie de situation c'est que elle prend le taureau par les cornes et qu'elle s'ataque à ces débouchés tête baissée, en incluant la situation dans l'ontologie dès le tout début, au même titre qu les autres plus classiques entités telles que les individus, relation, place, et ce qui s'y apparente. Pour John et David, il se pourrait bien que l'unique moyen de qualifié la situation en question à savoir"le match d'hier soir". Le développement d'une théorie de situation devait se construire avec les techniques qui sont utiles pour fonctionner avec les idividus, les relations et ainsi de suite, mais qui ne sont peut être pas vraiment approprié pour les situations.
               Les situations sont, pour le théoricien, une nouvelles sorte d'entité, qui demandera probablement de maitriser de nouvelles techniques. Comme mentionné plus tôt, comme les situations font partie de l'ontologie comme le reste, les situations seront peut êtres constituantes des infons.

                Comme exemple d'infon qui implique une situation comme un argument d'une relation, je suggère <> où s est le match de foot dont on parlait, l est la place de david et du match, et t est l'intervale de temps pendant lequel David a vue s.
                Métons que s soit une situation. Soit @ un infon, nous pourrions avoir besoins de considérer le fait que @ soit rendu vrai par s, ce que j'ecrirais s |= @ Une autre manière de l'exprimer est de dir que @ est un élément d'information qui est vrai de s.
                                           La terminologie officielle est que S SUPPORTE @.
notez que cette notion est fondamentale dans le sens que, étant donné un infon @, cést un fait du monde que la relation s |= @ soit tient ou ne tient pas.
                Si I est un ensemble d'infons et s une situation, j'écrit s |= I si s |= @ pour chaque infon @ de I. Je suppose que parmis les situations possibles pour notre étude il y a une situation maximale et unique, le 'monde', du quel chacune des autres situations est une partie.
Il se peut ou non que les espèces d'agents que l'on étudie puissent individualiser une telle notion. Dans le cas de l'homme, il me semble que nous sommes capables d'individualiser une telle totalité.
Mais dans chaque exemple étudié du point de vue du théoricien il est vraiment très pratique d'avoir cette situation dans notre ontologie. En générale, je note ce monde par 'w'.
Notre définition précédante d'un fait peut être maintenant reformulée comme un infon @, tel que w |= @