EXTRATERRESTRES OBSERVATEURS DE LA PROPAGANDE TERRESTRE


Quelques extraits de discours officiels et de résolutions d'hommes politiques de premier plan :

20 Décembre 2007, Japon : Le ministre de la Défense veut un plan anti-Ovni.
Pour le ministre de la Défense du Japon Shigeru Ishiba, l'existence des Ovni est plausible et les troupes japonaises doivent pouvoir réagir si des soucoupes volantes apparaissent. Cette déclaration du ministre fait suite aux propos du porte-parole du gouvernement Nobutaka Machimura qui a déclaré mardi être «absolument persuadé» de l'existence des Ovni. Le ministre de la Défense a déclaré vouloir étudier comment les Forces d'auto-défense pourraient réagir au cas où des soucoupes volantes apparaîtraient. Selon la constitution pacifiste du Japon, ces troupes ne sont autorisées à intervenir que si le pays est menacé d'invasion par un Etat étranger ou pour des opérations limitées à l'extérieur. «Il n'y a rien qui nous permet de nier l'existence d'Objets volants non identifiés (Ovni) et d'une forme de vie qui les contrôle», a déclaré à la presse Shigeru Ishiba (Parti libéral démocrate, droite), en précisant qu'il s'agissait d'une opinion personnelle. «Dans les films «Godzilla», les Forces armées sont mobilisées», a-t-il remarqué, s'étonnant que rien n'ai été fait jusque-là pour fixer un «cadre légal» en cas d'invasion extra-terrestre. Mardi, le porte-parole du gouvernement Nobutaka Machimura contredisait, «à titre personnel», une résolution officielle adoptée dans la journée en Conseil des ministres, et dans laquelle le gouvernement ne «confirmait pas l'existence d'"objets volants non identifiés qui seraient venus de l'espace"», à la suite d'une question d'un sénateur.

Le Président Ronald Reagan - Président des USA, le 5 mai 1988:
"Mais je me suis souvent demandé, que se passerait-il si tous dans notre monde découvraient que nous avons été menacés par une puissance venue de d'espace, d'une autre planète. Est-ce nous tous ne découvririons pas soudain que nous n'avons pas de différence entre nous, nous tous les êtres humains, citoyens du monde, et ne nous unirions nous pas ensemble pour combattre cette menace particulière?"

Ronald Reagan lors d'une sessions plénière des Nations Unies, le 21 Septembre 1987 :
"Dans notre hantise des antagonismes du moment, nous oublions souvent ce qui unit tous les membres de l'humanité. Peut-être avons nous besoin d'un certain événement extérieur, une menace universelle pour nous inciter à identifier ce lien commun. Je pense de temps en temps, avec quelle rapidité nos différences dans le monde entier disparaîtraient si nous faisions face à une menace étrangère venue de l'extérieur de ce monde. Mais, je le demande, n'y a-t-il pas déjà une force étrangère parmi nous?"
"Il n'y a qu'une poignée de personnes qui savent la vérité à ce sujet."

M. Mikhaïl Gorbachev - Président de l'URSS, 16 février 1987 lors d'un discours officiel au Kremlin:
"Au cours de notre rencontre à Genève, le Président des Etats-Unis m'a dit que si la Terre était confrontée à une invasion d'extraterrestres, les Etats-Unis et l'Union Soviétique réuniraient leurs forces pour la repousser. Je ne discuterai pas cette hypothèse, bien que je pense qu'il est encore trop tôt pour s'inquiéter d'une telle intrusion."

Jimmy Carter - Président des Etats-Unis d'Amérique 1977 à 1981
Pendant sa campagne présidentielle : "Si je suis élu président, je ferai en sorte que toutes les informations détenues par ce pays sur les observations d'OVNI soient disponibles pour le public et les scientifiques. Je suis convaincu que les OVNI existent parce que j'en ai vu un."
Extrait de l'ouvrage "Above Top Secret": "Lors de sa campagne électorale de 1976, il raconta ceci à deux reporters : "C'est la chose la plus incroyable que j'ai jamais vue. C'était grand, très brillant, les couleurs changeaient et cela avait à peu près la taille de la Lune. Nous l'avons observé pendant dix minutes, mais aucun de nous ne pouvait se figurer ce que c'était. Une chose est sûre, je ne me moquerai jamais de ceux qui disent avoir vu des objets non identifiés dans le ciel. Si je deviens président, je ferai tout pour que ce pays soit au sujet des observations d'ovnis soit mis à disposition du public et des scientifiques."

Le Général Douglas MacArthur. Le 8 Octobre 1955: "Les nations du monde devront s'unir car la prochaine guerre sera interplanétaire. Les nations de la Terre devront un jour faire front commun contre une attaque de peuples extraterrestres."
Le 12 mai 1962, lors d'un discours (connu comme le discours "Devoir, Honneur, Pays") aux cadets de l'Académie Militaire U.S. à West Point, à l'occasion de sa réception du Prix Sylvanus Thayer, il fait une nouvelle fois allusion à la possibilité d'une confrontation extraterrestre dans le futur : Nous avons maintenant affaire, non seulement à des choses de ce seul monde, mais aux distances illimitées et aux mystère jusqu'ici encore insondés de l'univers. Nous atteignons une nouvelle frontière sans limites. Nous parlons en termes étranges d'arracher l'énergie cosmique, de faire travailler pour nous les vents et les marées, de créer des matériaux synthétiques pour compléter ou même remplacer nos vieilles bases standards ; de purifier l'eau de mer pour notre boisson ; d'extraire des fonds océaniques de nouveaux champs de richesse et de nourriture ; de préventions de maladies pour étendre la vie à une centaine d'années ; de contrôler le temps pour une distribution plus équitable de la chaleur et du froid, de la pluie et du soleil ; de vaisseaux spatiaux sur la Lune ; de la cible principale dans la guerre, qui n'est plus limitée aux forces armées d'un ennemi, mais plutôt d'inclure ses populations civiles ; de conflit ultime entre une race humaine unie et les forces sinistres de quelque autre galaxie planétaire ; de ces rêves et fantaisies qui font la vie la plus excitante de tous les temps.

Le 5 octobre 1982 le Dr Brain T. Clifford du Pentagone a annoncé, lors d'une conférence de presse :
"Le contact entre les citoyens américains et les extraterrestres ou leurs véhicules sont strictement illégaux. Tout contrevenant devient automatiquement un criminel recherché, punissable d'un an d'emprisonnement et de 5000 dollars d'amende. L'administrateur de la NASA a toute autorité pour décider, sans audition, si une personne ou un objet a été exposé directement ou indirectement à un contact extraterrestre. Il peut également imposer une quarantaine indéterminée, sous garde armée, qui ne peut être cassée par aucune cour de justice." Cette réglementation, titre 14, section 1211 du "Code of Federal Regulations, a été adoptée le 16 juillet 1969 et abrogée le 26 avril 1991. Une autre réglementation plus contraignante a été adopté dès 1953 pour les militaires ainsi que les pilotes de compagnies civiles avec deux ordonnances militaires AFR (Air Force Régulation) 200-2 et JANAP 146 (Joint Army Navy Air Force Publication), l'une interdisant la divulgation au public d'informations relatives à des observations d'objets non identifiés et l'autre qui fait de la divulgation non autorisée d'une observation d'OVNI par son auteur une infraction passible de dix ans d'emprisonnement et de 10 000 $ d'amende.
 

 

Conversations entre extraterrestres observateurs de la propagande médiatique globalisée

 

-- Voilà qu'ils se mettent à croire à leur propre propagande

-- Et pourtant, nous observons des terriens toujours plus nombreux qui doutent de leurs dirigeants. Ils seraient de plus en plus à réclamer une rénovation du mode de gouvernance et une régulation pacifique et collaborative dans la gestion des ressources planétaires et des écosystèmes.

-- Ce n'est pas si simple. Les réseaux socio-économiques sont verrouillés par des élites d’éduquées et des communautés d'intelligentsias qui ne se laisseront pas faire. Ils sont obsédés par la puissance technologique et le pouvoir qu'ils peuvent avoir sur la nature et leurs semblables. On ne peut pas leur faire confiance tant qu'ils restent habités par ce fantasme.

-- Ce qui m'inquiète, c'est la peur qu'ils parviennent à susciter avec la puissance du mass-média. Ils sont tellement fous qu'ils seraient capables de nous déclarer la guerre.

-- Impossible, ils ont tellement du mal à s'accepter eux-mêmes. Ils n'oseront jamais révéler notre existence tant qu'ils n'auront pas mis l'humanité entière dans une nasse politico-financière qui cloisonnera les esprits et limitera le désir révolutionnaire. Lorsqu'ils seront sur le point de non retour, les populations seront face à des révélations sur les désastres et les mensonges perpétrés en toute connaissance de cause. L'humanité devra finalement choisir entre un destin collectif déterminé par une révolution des croyances fondamentales pour une acceptation de notre présence, ce qui pourrait conduire dans une limite d'ingérence humanitaire de notre part à une nouvelle civilisation plus respectueuse de l'environnement et de la nature. Soit choisir une voie plus périlleuse, se laisser entrainer dans d'autres cycles de dégradation et de régression qui auront pour motivation première de limiter les effets de l'ethnocide provoqué par nos incursions répétées. Ce serait de la part des centres de pouvoirs de piètres manœuvres de contrôle des populations dans l'unique espérance d'organiser un utopique gouvernement planétaire qui maintiendrait les mêmes élites en place tout en limitant la portée de nos propres interventions. Nous aurions alors plus de difficultés pour surveiller le biotope et sensibiliser les populations sur les défaillances humaines.

-- Ils sont capables de s'entretuer avant que ce seuil de bouleversements psychobiologiques ne survienne. Nous devrions intervenir plus tôt que prévu pour leur prouver que nous ne sommes pas que des visiteurs indifférents.

-- Ce n'est pas à nous de prendre cette décision ! N'oubliez pas que nous ne sommes qu'une équipe parmi toutes les autres communautés de surveillance. Il est préférable de suivre les consignes et d'agir en toute discrétion. Rappelez-vous que notre marge de manœuvre est très limitée. Nous risquons d'être la cause de plus de maux pour fatalement reprendre ensuite tout le processus à partir de zéro. Il serait critique maintenant de bouleverser les schémas d'ingérence par excès de précipitation. L'unité de coordination regroupant toutes les communautés impliquées dans l'étude de cette planète n'a pas modifié les directives. Nous poursuivons et aviserons en cas d'alerte.

-- Il serait en effet regrettable d'assister à cette irrémédiable diminution de la biodiversité sans prendre des mesures de préservation. Les efforts de nos prédécesseurs au sein de cette unité de coordination pour accompagner cette humanité depuis sa dernière ère préhistorique ne peuvent pas finir par un tel gâchis !

-- Nous avons les moyens d'intervenir énergiquement et de redresser la situation mais cette possibilité déjà critiquée abouti à un autre système de contrôle qui réduit l'autorégulation naturelle et biogénétique causant des réactions en chaine très dommageables. N'oublions pas que notre projet initial et d'assister jusqu'a son terme à toutes les étapes de l'éclosion d'une civilisation planétaire à travers ses différentes crises sociopolitiques, démographiques, technoscientifiques et surtout métapsychiques.

-- Si nous intervenons en deçà du seuil de vigilance cela risque de ne pas être suffisant, si nous laissons faire ce qui va advenir fatalement à l'espèce humaine cela conduit à une catastrophique remise en question de nos propres efforts, et si nous investissons le champ social explicitement dans les prochaines décennies il y a de fortes probabilités pour que cela soit prématuré.

-- Dans le pire des scenarios nous pourrions retrouver de nouvelles perspectives à condition d'une sauvegarde a minima du biotope et faire avec l'éclosion d'une nouvelle humanité. Cette nouvelle civilisation planétaire émergerait dans des conditions plus difficiles, elle serait porté par les survivants de toutes les catastrophes prévisibles et provoquées par l'intelligence humaine. Avant d'en arriver à ce stade, il nous reste heureusement d'autres champs d'action sur la conscience collective.

-- Entre nos prévisions calculées, les prédictions et les difficiles décisions concrètes déterminées par les choix de l'unité de coordination, nous nous retrouvons sans cesse devant des dilemmes moraux. Nous pouvons toutefois apporter un soutien actif à nos réseaux de contacts de terrain sans contredire nos premières directives. Le temps fera ensuite son œuvre et nous observerons plus attentivement les effets induits et cumulatifs de toutes nos multiples ingérences sur les populations ainsi que les réactions prévisibles des centres de pouvoirs et de leurs structures militaro-industrielles associées.